Alice Valentino
INSCRIT LE : 30/03/2014 MESSAGES : 160
| Sujet: peace or violence ☮ alice Mar 1 Avr - 22:12 | |
| alice emilia valentino ni l'un ni l'autre, je suis, j'étais et resterai moi.
| more about you. nom • valentino.prénom • alice mais pas seulement, également emilia qui était le prénom de ma grand-mère maternelle. âge • vingt-trois ans. origine • italienne et également cubaine du côté de mon père. lieu de naissance • naples. métier • mannequin à temps plein pour une grande marque italienne. et serveuse de temps à autres le soir. orientation sexuelle • hétérosexuelle bien je n'ai essayé que des hommes jusqu'à présent donc difficile de se prononcer. situation • célibataire. avatar • ashley benson. crédits • écrire ici. |
your character. est un peu dépressive ◮ peut se montrer asociale par moment ◮ drôle ◮ attentionnée avec les gens qu'elle aime ◮ sensible même si elle veut le cacher ◮ passionnée par son métier ◮ jalouse ◮ possessive ◮ courageuse ◮ bosseuse ◮ active ◮ intelligente ◮ joueuse ◮ solitaire par moment ◮ souriante ◮ rancunière ◮ lunatique ◮ | more than you can explain. toxico depuis quatre ans mais se droguait déjà pas mal avant ◮ ne veut pas sortir de toute cette merde ◮ a eut un passé douloureux qui refait surface à chaque moment de sa vie ◮ se sent toujours horriblement seule malgré qu'elle ait pas mal d'amis sincères ◮ ne croit pas en l'amour et en tout ce qui est cul-cul la praline ◮ a perdu sa soeur jumelle, décédée dans un accident de voiture ◮ elle n'a jamais connu son père ◮ déteste la vie qu'elle mène mais n'est pas prête à en changer ◮ adore faire la fête car elle oublie tout ◮ enchaîne les conquêtes d'une nuit et les sex friends ◮ adore le sexe ◮ adore faire du shopping même si c'est un truc de gonzesse écervelée selon elle ◮ adore son métier et lorsqu'elle pose oublie tout ◮ déteste les filles qui mettent quatre tonne de maquillage ◮ déteste les gens chiants et hypocrites et encore plus quand ils sont amoureux ◮ a un caractère de merde ◮ est trop jalouse et trop possessive mais surtout quand il s'agit d'hommes ◮ malgré qu'elle ne soit pas amoureuse elle aime les garder pour elle ◮ croit en la religion chrétienne ◮ est une bosseuse ◮ croit peu en la famille ◮ aurait voulu protéger sa petite sœur ◮ tiens un journal intime depuis que son beau-père la bat et abuse d'elle, c'est-à-dire dix ans ◮ |
and behind the computer... pseudo • unbreakable. prénom • justine. âge • vingt ans. où as-tu connu le forum • par mes petits amours. ton avis • scénario ou inventé • PI. autres • VOUS AIIIIMES. TOUS. - Code:
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<b>ASHLEY BENSON</b> ~ alice valentino.
Dernière édition par Alice Valentino le Dim 13 Avr - 12:50, édité 5 fois | |
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Alice Valentino
INSCRIT LE : 30/03/2014 MESSAGES : 160
| Sujet: Re: peace or violence ☮ alice Mar 1 Avr - 22:12 | |
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tell me the story of your life.chapter one ◮ l'avalanche « allé emilia mets ta veste et on y va! » ma mère me fixait, agacée par mon attitude. « non je n'irai pas, plutôt mourir que d'aller là-bas! » plutôt mourir que d'aller chez mes grands-parents. Et en plus de ça, du coté de mon père. Mon père, ce lâche, nous avait abandonné ma sœur et moi à notre naissance. Parce que oui, nous sommes jumelles. Ma mère s'obstinait à ce qu'on voit nos grands-parents paternels. Ou plutôt, eux faisaient pression sur ma mère pour nous voir. Et puis comme ils donnaient beaucoup d'argent à ma mère pour notre "éducation" elle ne pouvait refuser. Mais cette fois il était hors de question que j'y aille. Ma mère abandonna l'idée et pris ma sœur Athena par la main. Elles montèrent toutes les deux dans la voiture, me laissant seule à l'âge d'à peine onze ans. Moi je faisais la fière, j'étais heureuse de ne pas y aller mais au fond, la maison me faisait atrocement peur. Je ne l'ai jamais aimée, elle est grande mais si vide. On a pas l'impression de vivre dans une maison familiale, ça non. Ma mère qui travaille beaucoup n'est presque jamais là. Mon temps, je le passe avec ma nounou les trois-quart du temps. Et je ne l'aime pas. Mais bon... J'aime personne à part Athéna et ma mère. Bref, je pris quelques affaires qui trainaient, fis la vaisselle et attendis devant la télé fièrement que maman et Athena rentrent à la maison. La porte d'entrée s'ouvrit et je me précipita vers l'entrée. Mais lorsque j'arrivai à hauteur de la porte, je trouva ma tante Rosy. Un air triste et vraiment indescriptible sur le visage. Elle me pris par la main, me fis monter dans la voiture sans rien me dire. J'avais beau crier pour qu'elle me réponde mais aucun son ne sortaient de sa bouche. Alors que l'on roulait depuis vingt bonnes minutes, la voiture s'arrêta. Et là je compris. Tout basculait. L'hôpital se trouvait de moi que pouvait-il se passer ? J'imaginais le pire. Me retrouver orpheline, serait la pire des choses. Et perdre ma jumelle serait comme perdre la moitié de mon cœur. Mais plus j'avançais, plus les battements de mon cœur accéléraient. Je rentrai dans une chambre et trouvai ma maman, seule. Seule et si triste qu'on aurait dit que son corps était là mais que son esprit était sans vie. Alors là je compris tout, Athena n'était plus de ce monde, et mon monde à moi s'écroulait.
Les mois passaient et j'étais en train de subir ma vie, je n'arrivais plus à rien. Oui je me rendais au cours mais j'étais seule, horriblement seule. Je ne m'étais jamais sentie aussi vide. Vide de tout sentiment, de toute vie. Ma sœur n'était plus là, et la vie n'avait plus de sens à mes yeux. Ma mère essayait tant bien que mal de continuer sa vie et de m'aider à sortir de cet enfer mais rien n'y faisait. Je n'y arrivais pas. Je ne voulais pas y arriver plutôt. Perdre sa sœur à à peine onze ans, c'est un supplice d'autant plus quand il s'agit de votre jumelle. Je n'avais plus goût à rien jusqu'à ce fameux jour. « tiens emilia t'as du courrier! » ma mère, étonnée ne comprenait pas ce que ça pouvait bien être. Au fond elle avait peur que ça soit une lettre de mon père. Elle s'installa à mes cotés. Moi, tout excitée, je répondis: « oh chouette, j'en ai jamais eu! » J'ouvris l'enveloppe et tombai sur un concours m'invitant à participer à un défilé. La ville organisait un grand défilé pour une grande marque et ils recrutaient des enfants. Même si ma mère n'était pas d'accord, moi j'en étais toute excitée. Et après un an de tristesse et de calme plat, ma mère ne pouvait refuser. C'est comme ça que un an après la mort de ma sœur, je repris doucement goût à la vie. Et ce premier défilé fut une première révélation. La mode et le mannequinat sont désormais mon présent et surtout mon futur. chapter two ◮ le début des problèmes La mode et son univers me plaisait de plus en plus et je retrouvais goût à la vie. Mais tout était trop beau et j'aurais dû m'en douté. Ma mère rencontra un homme, et tout alla si vite qu'en à peine quatre mois ils étaient mariés et habitaient ensemble. Qui dit cohabitation, dit déménagement. Je n'aimais pas notre maison mais j'aimais encore moins celle de Sean, le mec de ma mère. Voilà deux ans que ma mère et moi étions bien, nous deux. Le fait qu'elle trouve un homme ne me posait aucun problème mais ce qui me posait problème c'est que le mec en question est un gros pervers. A quatorze ans, la puberté commence et on peut dire que j'étais un peu plus avancée que les autres. Sean de son coté, ne se privait pas pour regarder ma poitrine et me mettre la main aux fesses. Mais le pire arriva, alors que ma mère bossait de nuit - infirmière c'est pas simple tous les jours - le drame commença. Je devais faire à manger mais je m'étais plongée dans mes cours, donc le dîner trainait un peu. Sean n'admit pas le fait que je n'étais pas à ses petits soins, alors il leva pour la première fois la main sur moi. Je pleurai toutes les larmes de mon corps et après avoir mangé et rangé la maison, je monta dans ma chambre. J'avais envie de mourir, je me sentais trahie, humiliée. Alors que je m'étais enfin endormie, je senti une présence à mes cotés. Je ne bougeai pas, faisant semblant de dormir mais finalement je senti l'odeur de Sean. Je me retournai, prête à crier mais la main de Sean faisait déjà pression sur ma bouche. Je fermai les yeux et senti Sean toucher chaque recoin de mon corps. Il se décida enfin à quitter ma chambre et là je ne fermai plus l’œil du tout. Je pleurais et eu envie de fuguer mais pour aller où? A quatorze ans je ne pouvais rien faire. Alors je me promis de quitter la maison à 18 ans et de lui faire payer tout ce qu'il m'a fait subir. Ma mère crevée de ses nuits de garde n'entendait rien mais il revint plusieurs fois dans mon lit pendant que je dormais. Je passais des nuits affreuses et si je parlais, les coups ne manquaient pas. Ma vie était un vrai calvaire et ça risquait de ne pas s'arranger.
Voilà deux ans que mon beau-père me bat et abuse de mon corps. C'est un vrai supplice et je n'arrive pas à l'en empêcher. Alors j'ai fait ce qu'il y a de plus simple pour oublier. J'ai fais des rencontres assez hasardeuses qui m'ont amenées à me droguer, et à boire pour oublier. L'alcool est plutôt un plaisir mais la drogue est devenu un vrai besoin. Et comme mon beau-père veut se faire pardonner comme il dit, il me file de l'argent en douce que je claque pour m'acheter de l'héro. C'est un deal entre nous et tant que j'ai ma dose quotidienne, je suis satisfaite. Ma mère de son coté a eut quelques soupçons mais Sean l'a fait 'taire' en lui offrant un voyage de rêve. Me laissant du répit pendant une semaine, ce fut la meilleure de ma vie. De mon coté pour être parfaite sur le podium je m'entraîne et enchaîne les galas. Je n'hésite pas à prendre un petit remontant pour m'aider à toucher la perfection du bout des doigts. Mais au fond, comment se donner à fond dans sa passion en ayant une vie pareille? ma vie est médiocre, sale, et je ne fais rien pour la changer. Ou du moins, je ne peux rien faire. chapter three ◮ le renouveau Mais tout ne peut plus se passer comme ça selon moi. Je veux que ça change, et comme promis, deux ans après je quittai le cocon familiale. Ou plutôt le pire lieu de ma vie. En me promettant de ne jamais y remettre les pieds. Tant pis pour ma mère, elle comprendrait. En quittant la maison j'avais prévu pas ma de trucs et je venais justement de me faire embaucher par une agence de mannequin. C'est comme ça qu'a à peine dix huit ans, je devins une mannequin de renommée. Je n'étais pas connue dans le monde entier mais je faisais des défilés plus beaux que jamais et c'est ça qui m'importait. J'ai toujours rêvé de finir par ouvrir ma propre agence mais pour ça il faut que j'avance encore un peu plus dans le présent. Et puis même si la drogue, la fête et les conquêtes sont toujours mon quotidien, au moins je mène la vie que je veux. Je n'ai plus aucune considération pour les hommes mais j'aime jouer et me servir d'eux. Même si je ne fais aucun effort pour sortir de tout cet enfer, je travaille dans la mode, dans ma passion et c'est ça qui m'importe le plus. Je ne sais pas si un jour je serai prête à reprendre le dessus et à changer mais je sais que j'aurai une vie normale moi aussi à un moment de ma vie. | |
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