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| Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » | |
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Calliope Salviati
INSCRIT LE : 20/04/2014 MESSAGES : 5
| Sujet: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 15:24 | |
| Calliope Amalia Salviati color my life with the trouble of chaos
| more about you. nom • Salviati, un nom qui ne vous dit probablement rien et c'est le cas. Un simple et respectable banquier. prénom • Calliope, muse de la poésie et de l'éloquence vive. Amalia est mon deuxième prénom, que j'utilise souvent. âge • Vingt-trois années déjà bien comptées. origine • Italienne de père, britannique de mère. Un mélange plutôt étrange, je l'avoue. lieu de naissance • Naples, je suis d'ici. métier • Éudiante en arts appliqués et serveuse dans un café, accessoirement. orientation sexuelle • Hétérosexuelle, à priori. situation • Célibataire. groupe • Lasagna. avatar • Lily beautyqueen Collins crédits • unknown pour l'avatar. ici. |
your character. calme • créative • imprévisible • impossible • bordélique • conciencieuse • maladroite • cynique • douce • passionnée • tête brûlée • casse-cou • aventurière • voyageuse • mélancolique • parfois renfermée • solitaire • indépendante • pas spécialement soignée • studieuse • imaginative • machiavélique • sournoise • sadique • butée • curieuse • se prend pour un détective • devient un peu obsessionnelle quand elle part sur une idée ou veut élucider quelque chose • dessine tout et n'importe quoi, n'importe quand • méfiante • naturelle • possède une sacrée tendance à envoyer bouler les séducteurs ou tout espèce masculine qui tente de s'approcher un peu trop de ses miches. | more than you can explain. Depuis quand elle dessine ? L'école primaire. On lui a fourré un papier sous les yeux, un crayon sous la main : c'est parti mes kikis. Personne n'a jamais pu réussir à l'arrêter, elle est insaisissable quand elle rentre dans son monde. Elle gratte les feuilles, esquisse, croque, colorie, ombre, peint, ressent l'atmosphère de son œuvre. Restitue un maelström de sensations, avec deux éléments des plus simples. ••• Son meilleur ami, son ennemi le plus intime. Un regard acier, une chevelure sombre. Alessio Salviati. L'ombre, le geôlier, le vautour qui- bon d'accord, elle exagère. Mais bon, vous ne le connaissez pas autant qu'elle, hein. Alessio c'est son grand frère. Le premier. Le petit chef de famille. Il lui donne autant envie de l'attraper par la taille pour l'enlacer que de lui envoyer son poing dans la figure. Qui la suivait à la trace au moindre pas posé en dehors de la maison ? Qui repoussait le moindre prétendant de toutes les manières possibles et inimaginables ? Pourtant, il a toujours été son étoile polaire, le Nord de son Sud, le seul vers qui elle allait se réfugier lors de ses cauchemars, ses peines, ses colères, ses déprimes passagères. Les bras qui s'ouvraient à peine avait-elle passé la porte. La personne la plus importante à ses yeux. ••• C'est après avoir été agressée par un garçon à l'âge de seize ans, après une sortie dans un bar, qu'elle a commencé le karaté. Plus un moyen d'auto-défense, à la base. Mais c'est devenu un défouloir, un moyen de s'exprimer autre que le dessin. Un moyen de laisser évacuer ses émotions les plus profondes. Et toujours pratique quand on lui cherche des noises, mais avec respect des valeurs enseignées. ••• La touche britannique ? Les habits. Même si elle ne soigne pas vraiment son look vestimentaire, elle choisit ce qu'elle aime et privilégie les habits confortables et colorés. Elle attire malheureusement le regard, je dis ça, parce qu'elle ne se soucie pas réellement du regard des autres. Pourtant, son esprit vintage est plutôt apprécié. Dévoiler sans montrer, être originale sans être excentrique. Un savant mélange qui reste classe et bariolé. |
and behind the computer... pseudo • absolem. prénom • léa. âge • dieciocho años. où as-tu connu le forum • prd. ton avis • très beau visuellement, contexte léger et tranquille, et puis...l'italie. scénario ou inventé • inventé ma gueule ! autres • trop d'idées de pairings pour lily ;w; aidez-moi. - Code:
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[b][color=#990000]LILY COLLINS ∆ [url=votre profil] Calliope Salviati[/url][/color][/b]
Dernière édition par Calliope Salviati le Lun 21 Avr - 16:14, édité 3 fois | |
| | | Calliope Salviati
INSCRIT LE : 20/04/2014 MESSAGES : 5
| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 15:24 | |
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tell me the story of your life.I - « Calliope ? Calliope ! » Un regard chocolat qui se pose lentement sur l'interlocuteur. Les lèvres rouges se plissent en une moue ennuyée. Presque dédaigneuse. « Quoi ? » Un verre de rhum à la main, elle attend une réponse. Sinon quoi, elle retournera dans son monde, à observer les étoiles, couchée dans l'herbe. Le clapotis de l'eau chlorée qui projette des ombres lumineuses dans la verdure aux alentours. « Il y a quelqu'un à la porte, pour toi. » Une langue qui claque sur le palais, un soupir. Pourquoi toujours passer par les autres ? Pourquoi ne pas franchir la marche ? « Ladite personne peut très bien venir d'elle-même, non ? Elle n'est pas assistée, je suppose, non ? » Un silence. Un frémissement de la part de l'interlocuteur. De la peur ? Pourtant, elle ne fait aucun mouvement. Elle attend. Patiemment. « Non, elle n'est pas assistée, en effet. » Et merde. There is a big problem. Mayday mayday. Il faut sauver le soldat Calliope. Automatiquement, elle lève la tête. Deux orbes d'un bleu de ciel d'été, d'un bleu printanier. Un regard perçant, transcendant. Qui fascine autant qu'il effraie. « Alessio. » Elle se relève aussi dignement que faire se peut, avec quelques verres dans le sang. Pas qu'elle soit rapidement ivre, mais ça tourne un peu, quoi. Poing sur la hanche, elle observe son vis-à-vis. Un rictus déforme son joli visage. « Tu viens encore pour me chaperonner, c'est ça ? Tu n'as pas assez à faire avec ton travail, monsieur l'avocat ? » Un reflet des profondes pensées qui hantent son cœur. Parce qu'il se fait moins présent. De jour en jour. Son attention dévie d'elle. Et elle est égoïste, au final. Parce qu'elle a toujours été le centre, même quand elle ne le voulait pas. Et quand on vit avec cette ombre derrière soi, même désagréable, s'en détacher devient difficile. « Rentre à la maison, Calliope. Tu n'aimes même pas boire. » Le verre est lancé à la figure, le liquide s'égouttant lentement sur le visage charismatique. Le feu brûle dans les prunelles brunes. Une rage. « Qu'est-ce que tu en sais, de ce que j'aime ou de ce que je n'aime pas ? Tu ne m'as jamais laissé aucune liberté ! Vas te faire voir, Alessio. Laisses-moi tranquille. » Le défi étant clairement présent dans le reflet de ses yeux. La brunette comptait se resservir un verre, voire même boire à la bouteille, par pure provocation. Mais elle fut soulevée dans les airs. Perdu. Alessio 1, Calliope 0. Comme toujours. Maintes protestations, moults cris de colère. Des petites mains arachnéennes qui frappent sur le torse athlétique. Et des larmes qui glissent, dévalent la rondeur d'une joue, de l'autre, pour s'échouer dans le creux de son cou. « Je suis désolée. » Elle n'avait jamais compris. Comment il arrivait à lui faire les choses les plus dégueulasses au monde, et qu'elle en vienne à s'excuser. Il avait été cette pression constante, ce spectre présent, inéluctable. Qui avait positionné les barrières de son existence. Mais elle finissait toujours par revenir entre ses bras. Le syndrome de Stockholm, possiblement. Par pur esprit de contradiction, elle avait essayé n'importe quoi, fait le possible et l'inimaginable. Parce qu'il l'avait privé de tout, avait limité ses contacts avec le monde. L'avait empêché de devenir une jeune femme saine et plus ou moins stable. Laissant simplement la place à un être cynique et calme, solitaire. Presque inapte à la plupart des relations que l'on puisse espérer. Pourtant, cette figure du grand frère avait toujours éveillé cette tendresse et cette sensibilité exacerbée qu'elle possédait. La rendant impuissante face à l'approche de celui-ci. Une relation plutôt malsaine, quand on y réfléchit. Aucun esprit amoureux, rien de tout ça. Mais simplement cette complication dont le début n'a jamais été clairement retrouvé. Mais c'est ainsi, pas autrement. II - « Calli ? Un capuccino pour la table huit. » Un samedi comme tous les samedis. Un samedi différent de tous les samedis qu'il ai pu y avoir sur cette terre. Casquette verte vissée sur la tête, laissant émerger deux longues mèches chocolat, une silhouette s'approchait du comptoir. Un sifflotement délicat, mélodieux, jazzy. Un mouvement léger, entraînant, quelques tours de passe-passe et une odeur amère qui se propage dans l'espace lumineux du café. Une ambiance chaleureuse, propice aux échanges. Une bouffée d'oxygène pour un oisillon que l'on vient de sortir de sa cage. Un rayon de soleil se glisse entre les nuages et fend la place de travail d'un éclat qui aveugle ses yeux quelques secondes. Plateau largement positionné dans sa main, elle se dirige avec aisance entre les chaises, distribue quelques sourires à la pelle. Accepte avec bonheur ce que certains appelleraient une contrainte financière. Le salaire n'est pas un but, c'est la liberté qui l'est. Elle contourne la table dont le rutilant six s'étale en lettres verdoyantes. S'arrête et se fige. Devant l'apparition étrange qui se trouve face à elle. Le dessin. « Je..je. Ehm. Je...Votre... » Un oeil cerné et d'un bleu clair, presque pâle, lui apparaît enfin. Entouré de quelques mèches blondes, qui ondulent, serpentent sur la peau pâle, diaphane. « Mmh ? » Bam bam. Elle dépose un peu trop rapidement la tasse sur la table, au risque de la faire déborder dans la soucoupe. « Votre capuccino. » Puis Calliope se carapate derrière le comptoir, feinte une envie pressante pour s'enfuir vers les toilettes. Et c'est adossée à la porte de la cabine, genoux repliés contre sa poitrine, qu'elle s'autorise à hyper ventiler. Qu'est-ce que c'est que ce bordel, nom de dieu ? Ce visage, aux traits ciselés, ce sourire léger et malicieux. Ce regard vague, pourtant inquisiteur et profond. Cette chevelure désordonnée, d'un blond tellement lumineux qu'il en semble factice. Ce maintien nonchalant, cette impression que rien n'a d'importance pour lui, que cette vie est là mais qu'il n'est pas possible d'en faire quelque chose de concret. Le garçon de son dessin. Pendant ses heures de cours, la brunette croque, dessine, pour passer les heures. Chaque recoin du cahier est une antre aux gribouillis. Et pourtant, ce jour-là, en regardant par la fenêtre, l'inspiration lui vient. Quelque chose de primaire, un besoin élémentaire de dessiner ce qui vient à sa pensée. Elle continue sa course, prostrée dans son lit, reproduisant cette figure délicate sur son carnet. Redessinant le contour d'une joue, l'éclat de la pupille, le soyeux de la lèvre rose. Il n'est théoriquement pas possible qu'elle puisse avoir dessiné quelqu'un qu'elle n'a jamais rencontré, n'est-ce pas ? C'est surnaturel. C'est pour cette raison, effrayante, qu'elle lance presque ce carnet dans un tiroir, fermé à double tour. Il faut oublier, ce n'est pas possible. Ce n'est pas possible.
Dernière édition par Calliope Salviati le Lun 21 Avr - 17:22, édité 1 fois | |
| | | Melody Ricci
INSCRIT LE : 26/03/2014 MESSAGES : 238
| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 15:44 | |
| Bienvenue parmi nous si tu as la moindre question surtout n'hésite pas | |
| | | Angelica Kosta
INSCRIT LE : 12/04/2014 MESSAGES : 103
| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 16:08 | |
| Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^ | |
| | | Calliope Salviati
INSCRIT LE : 20/04/2014 MESSAGES : 5
| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 16:10 | |
| Merci à vous deux pour l'accueil | |
| | | Seven Petrovik Admin
INSCRIT LE : 19/11/2013 MESSAGES : 222
| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » Lun 21 Avr - 18:32 | |
| Mon dieu. Lily Collins + l'histoire, c'est magique, je kiffe tout simplement Bienvenue parmi nous et n'hésite pas, au moindre truc, on accours! Bravo, tu es désormais un napolitain et j’ai le plaisir de te rajouter au groupe des Lasagna ! ∆ Tu peux rp et flooder autant que tu le souhaites ! ∆ Tu peux voter pour le forum dans ce sujet ici ! ∆ Tu peux également te rendre dans cette partie du forum pour aller flooder dans ta partie de parrainage réservée ! ∆ Tu peux désormais aller organiser et créer tes liens ici ! ∆ Tu peux aller recenser ton logement ici Toute l’équipe de Oh Fratem ! te souhaite de t’éclater parmi nous et te souhaite une nouvelle fois, la bienvenue ! | |
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| Sujet: Re: Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » | |
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| | | | Calliope ↄ « estomaquée par la beauté du spectacle, je marche sur les braises sans le vouloir. » | |
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