Sujet: (F) ADELAIDE KANE » amour tourmenté Dim 13 Avr - 10:04
prénom prénom Reale
more about you.
nom • Reale nom d'une famille influente à Naples et en Italie en général.prénom • Au choix, j'imaginais soit un nom "international" (dans le sens où ses parents lui préparaient un futur à l'étranger) ou un truc bien italien. âge • 22 ans. origine • Italienne pur souche. métier • Je l'imagine bien avoir faite des études de commerce international et pourtant bosser dans un bar, un café, une galerie d'art en attendant de savoir quoi faire de sa vie. orientation sexuelle • Elle aime les hommes, c'est définitif. situation • Célibataire, tout du moins aux yeux de tout le monde.. proposition d'avatar • Adélaïde Kane, Crystal Reed, Astrid Bergès-Frisbey, Emma Watson crédits • gentle heart
your character.
Indomptable, têtue, impétueuse. Elle n’est pas du genre à avoir sa langue dans sa poche. Carrée, altruiste, rêveuse, naïve et candide, elle ne se rend pas bien compte que le monde qui l’entoure n’est pas aussi joli qu’on a bien voulu lui faire croire. Déterminée, forte, impatiente et farouche, elle met souvent le monde à ses pieds. La belle sait néanmoins que parfois il lui faut plier sous le poids des autres sous peine de se briser. Elle sait jouer la comédie, faire semblant d’être la fille que ses parents désirent en étant hypocrite et fausse. Elle n’est rien d’autre qu’une fille incertaine, passionnée dont le cœur la mènera toujours à un autre moyen se faire blesser. C’est une amoureuse des causes perdues, dotées d’une intelligence hors paire et d’un talent unique pour donner envie aux gens de la suivre. Elle est complexe, forte et fragile à la fois. Elle sait ce qu’elle veut et refuse qu’on l’empêche d’obtenir le fruit de ses désirs.
more than you can explain.
Vient d’une famille italienne plus qu’aisée + A passé sa vie à rester dans les bonnes grâces de ses parents alors qu’elle ne désire rien de plus que d’être totalement différente et indépendante de ces derniers + Rêve d’avoir le courage de partir en voyage humanitaire ou de créer une organisation ayant pour but d’aider les gens dans le besoin + Comme tous les adolescents elle a eu sa phase rebelle durant laquelle elle a bu, fumer, chanter sur les comptoirs des bars avant de se faire engueuler le lendemain matin, ça lui arrive encore + A fait des études qui ne l’intéressait pas et ne sait pas quel métier elle veut exercer pour le reste de ses jours + Elle le genre de nana naturel qui passe inaperçu et qui ne se sert jamais de son nom, elle a toujours eu en horreur ces fils de riches qui utilisent leur nom pour entrer partout + Les quelques réussites qu’elle a eu elle les a eu à la sueur de son front, aucune aile de l’université dans laquelle elle a étudié n’est nommé après le nom de sa famille, elle a toujours refusé les traitements de faveur + A toujours eu tendance à jeter son argent par les fenêtres, le versant à des associations, achetant des vêtements et de la nourriture à un pauvre sans abri qu’elle rencontre dans la rue ; sa mère avait l’habitude de lui dire qu’elle ne pouvait pas ramener toutes les âmes perdues chez eux comme elle l’aurait fait d’oisillons blessés, elle n’a jamais compris pourquoi + Depuis toujours la brune à un penchant pour les gens brisés, les âmes tordues et torturées
give your heart a break.
EDUARDO RIGA ~ Le jeune Riga et la belle Reale se sont rencontrés lorsque le jeune homme réparait l’évier de la cuisine des Reale. Ils ont un peu parti et prenant un pari contre le destin, le brun a invité la jeune femme à aller boire un verre. Ils ont été boire ce verre le soir même, accrochant bien plus que ce qu’ils avaient bien pu imaginer. Puis ils se sont revus encore et encore développant une relation amicale sur laquelle ils comptaient énormément. Eduardo fut le premier à avoir craqué, appelant à l’aide la brune. Rien de plus qu’un coup de téléphone où il lui disait où il était. Elle s’est précipitée pour voler à son secours. Ce soir là, contre la logique et son cerveau lui disant qu’elle s’aventurait sur une pente dangereuse, elle céda à son tour, ne résistant pas plus longuement aux lèvres du brun. S’en suivit des semaines d’illégalités, de réunion sous les draps échappant aux yeux du monde, de soirée passé à boire dans des bars si peu fréquenté que personne ne pourrait les reconnaitre. La belle fuyait le regard des gens ou plutôt le regard de ses parents. Au début, ça ne dérangea pas Eduardo, il pensait pouvoir ce faire à cette impression qu’ils étaient toujours poussé par l’urgence, forcé de se cacher. Puis, insidieusement ses doutes le rappelèrent à l’ordre et il ne pu en supporter plus. Ils se disputèrent une fois, deux fois, trois fois, se séparèrent encore et encore. Au final, ils trouvaient toujours autant de raison de se séparer que de se remettre ensemble. Elle ne peut pas l’abandonner, la brune en est bien incapable. Elle l’aime d’une manière qui ne peut être exprimé et ne sait pas comment faire autrement. Elle sent qu’il a besoin de lui et lui ne cherche même plus à le cacher. Il veut qu’elle reste, à n’importe quel prix. Il veut qu’elle reste malgré ses pétages de plombs, que lorsqu’il lui dit de dégager elle le prenne dans ses bras. Il sait qu’il est un poison, qu’il pourri la belle, mais il n’y peut rien. Il est jaloux, possessif, impatient. Il veut qu’elle lui appartienne, que personne d’autre que lui ne puisse poser les yeux sur sa belle. Il se fait peur à penser de cette manière, à imaginer la jeune femme comme à un bien que personne d’autre que lui ne pourrait posséder, mais c’est ce qu’il ressent. Cette relation est malsaine, cet amour est destructeur, mais ils peuvent lutter contre les liens qui les ramènent toujours l’un à l’autre.
Spoiler:
❝ The greatest gift you can give someone is the space to be his or herself, without the threat of you leaving.❞ « Qu’est-ce qui est si drôle monsieur je-sais-tout ? » Un sourire idiot aux lèvres, Eduardo haussa les épaules avant de porter lentement sa bière à ses lèvres. « En fait, je ne sais pas vraiment. C’est juste que je t’imaginais plus rêver d’empire immobilier et de sac prada que de mission humanitaire. » Continuant à sourire bêtement, le brun posa ses prunelles océans sur la jeune femme, il la regarda partager son amusement avant qu’elle ne redevienne sérieuse. Il voyait à quel point elle pouvait être nerveuse, il sentait qu’elle n’était pas dans son élément. Il la voyait jouer avec sa bière sans trop savoir que faire, le brun avait l’impression de voir un oisillon en train de faire son premier vol. Elle était fébrile, incertaine et semblait avoir besoin qu’on l’aide. Dans le fond, elle était incertaine, il le sentait, elle voyait qu’on réprimait son rêve et avait du mal à rebondir. Elle, la flamboyante héritier de l’empire des Reale semblait si frêle à cet instant. Elle qui pourtant semblait en permanence défier le monde et imposer à ce dernier sa volonté. Eduardo était impressionné de voir ce pan de la personnalité de la belle, il ne s’attendait pas à tant de profondeur chez une fille de riche qui semblait posséder le monde. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle se montre si sensible, qu’elle se dévoile avec si peu de pudeur à lui, l’humble plombier ayant réparé l’évier de la cuisine de son palace. « Je ne veux pas de la vie de mon père, je ne veux pas courir après l’argent. Je veux encore moins de la vie de ma mère, passer mon temps à dépenser un argent que je nai pas gagné. J’aimerais donner du sens à ce que je fais. J’aimerais avoir une raison d’être, faire quelque chose ayant une réelle signification. » Malgré lui, Eduardo était attendri par les mots de la jeune femme. Il ne s’attendait définitivement pas à ce que son potentiel coup d’un soir puisse être une jeune fille aussi cultivé et éveillé au monde extérieur que l’était l’héritier de la famille Reale.« Avant d’aller sauver les enfants à l’autre bout de la terre, permets moi de te montrer par où commencer. » Descendant en une gorgée sa bière, il attendit qu’elle en fasse autant avant de lui montrer la sortie. C’est docilement et contre toutes attentes que la jeune femme le suivi en silence, sans lui demander où il se rendait. Elle le regarda faire lorsqu’il acheta quelques légumes et du pain à l’épicier de son quartier. Elle le regarda encore faire lorsqu’il se retrouva entouré par une horde d’enfant de ce quartier défavorisé de la ville. Elle ne bougea pas, osa à peine respirer lorsqu’il distribua ses maigres courses, s’assurant que chacun puisse obtenir une partie du butin. Ce n’était rien d’autre qu’une habitude pour le jeune Riga qui avait vu faire sa grand-mère avant lui. Il savait à quel point l’entraide était importante dans le quartier, à quel point ces gamins qu’il connaissait depuis leurs naissances faisaient autant partie de sa famille que les gens partageant son sang. C’était ça la seule et unique vérité aux yeux du brun. La famille avant tout. La famille envers et contre tout. Le sang n’a rien à faire dans cette histoire, la famille on la choisi, on se la crée. Achevant son tour de force, persuadé que son couplet du beau garçon ténébreux altruiste allait achever la progéniture des hauts quartiers qu’il avait ramené il lui offrit un sourire éclatant. « J’imagine que chez toi ce n’est pas monnaie courante ce genre de spectacle. » « Contrairement à ce que tu crois, j’ai déjà vécu cette situation plus d’une fois, sauf qu’il s’agissait d’une paires de Louboutin que les gens s’arrachaient et non de quoi se nourrir. » C’est alors que la jeune femme lui offrit un de ces sourires qui veut tout dire. Un sourire qui dit merci, un sourire qui comprend, un sourire qui apprend. Ce légèrement étirement des lèvres qui semble traduire tout le ressenti qu’elle pouvait éprouver face à ce qu’elle venait de voir. Ce n’était trois fois rien, pourtant dans son sourire on pouvait voir que c’était beaucoup. A croire qu’Eduardo venait de lui offrir une leçon de vie, à croire qu’il lui avait éclairé le chemin et qu’elle savait vers où se diriger désormais. Intimidé par ce sourire, par cette aura que la belle semblait avoir, il passa une main dans ses cheveux, ébouriffant sa tignasse indomptable avant de dire : « Sans vouloir être rude, je pense qu’il est temps que je te ramène à ta demeure cendrillon, ton carrosse va bientôt se transformer en citrouille... Puis je n'ai pas envie d'avoir l'air pressant en t'invitant chez moi pour continuer notre conversation du bar. Cependant, si on a le plaisir de se revoir, j'aimerais entendre plus parler de tes rêves. » Riant légèrement, la belle hocha la tête alors qu’ils se dirigeaient tous les deux vers la moto du brun le coeur aussi lourd l'un que l'autre.
❝ I did get lost but I wanted someone to find me.❞ Les yeux perdus dans le vide, assis à même le bitume de la rue, la première chose qu’il vit fut ses talons. Posant ses yeux hagards sur la jeune femme, il remarqua à peine sa robe de cocktails et son maquillage délicat. Elle faisait tâche. La jeune femme faisait tâche dans le paysage urbain. Elle n’avait rien à faire là, à trainer entre les poivrots et les rats. Elle appartenait à un autre monde, à un ailleurs plus beau où tout semblait plus aisé. Néanmoins, elle s’abaissa pour regarder Eduardo dans les yeux avant de poser une de ses mains sur une de ses joues recouvertes de sang. Le brun tressailli à peine à ce contact. « Il va falloir désinfecter ça. » Souffla la brune sans rien ajouter, sa voix monocorde et exempt de toute émotion. « Je savais pas qui appeler. » Dit il avant qu’elle ne puisse esquisser un mouvement. « Je ne savais pas qui appeler. » Répéta-t-il comme s’il cherchait à se justifier. Sa grand-mère n’aurait certainement pas pu venir le chercher, pas à son âge, pas dans cet état. Son père n’était pas là, n’avait jamais été là et ça mère n’était plus depuis longtemps. C’était son numéro à elle qui s’était affiché en premier dans son téléphone. C’était à elle qu’il avait directement pensé. Plantant son regard trouble dans les yeux de la jeune femme, il percevait à peine les tourments dans lesquels il s’apprêtait à la plonger. Il savait juste qu’il mourrait d’envie de l’embrasser et qu’il espérait que le désir fut réciproque. « Je te ramène chez toi et ne t’inquiète pas pour moi, je ne faisais rien d’important. » Mentit elle sans ne serait-ce que ciller. Il avait remarqué sa robe de soirée, son parfum capiteux et le maquillage délicat, mais marqué, qu’elle portait. Il n’était pas idiot, mais il voulait bien fermer les yeux, pour cette fois, ne pas douter de ce qu’elle lui disait l’accepter. Laissant ses paupières lourdes de sommeille se refermer lourdement l’espace d’une seconde, il prit une longue inspiration en espérant pouvoir faire repartir la mécanique de son cœur qui sonnait faut depuis qu’il l’avait rencontré. Il sentit ses lèvres douces et avant de comprendre posait déjà ses mains sur sa taille menue pour l’attirer à lui. La douleur qui explosa à la base de sa mâchoire n’avait d’égale que la chaleur qui consumait ses entrailles. Ils étaient là, deux amants perdus, échoués au milieu de nulle part. Lui le poivrot qui semblait sortir d’une bagarre de bar et elle l’étoile filante qu’on venait surement d’arracher au planche d’un énième show d’hypocrite au sommet. Ils n’avaient rien à faire ensemble. Rien du tout, peut-être est-ce pour ça que le temps sembla s’arrêter sous le crâne du brun. A croire qu’il cherchait à figer cette erreur de la nature, s’assurer qu’à jamais il se remémorera cet accident de parcours qui n’aurait jamais du se produire.
❝ It’s a lot easier to be angry at someone than it is to tell them you’re hurt.❞ Sa respiration était lourde. Il pouvait sentir le souffle de la jeune femme s’écraser sur ses lèvres alors que perdu les yeux dans les yeux, leur visage à quelques centimètres l’un de l’autre il luttait silencieusement contre eux-mêmes. Dans la pénombre de la pièce, des débris de verre au sol, la pièce semblait avoir été retournée par un ouragan, mais ils s’en fichaient. Perdu dans le regard de l’autre, pour un instant ils occultaient le reste du monde, ils ignoraient la cause de leur dispute, ils ignoraient rien qu’un instant l’éclat de colère dont avait été pris le brun, ils ignoraient la peur qu’avait éprouvé la brune. Rien qu’un instant, ils dépassaient les limites de cette relation malsaine qui les liait, de cet amour qu’ils partageaient et les tuait. Rien qu’un instant encore il faisait comme si rien ne s’était produit et ça leur suffisait. Dans un instant, peut-être qu’il allait remettre le sujet sur le tapis, lui dire qu’il en avait marre de devoir cacher leur relation. Lui dire que si elle avait honte de lui elle n’avait qu’à passer cette porte. Dans un instant, peut-être qu’elle lui répondra qu’il se fait des films, qu’elle s’en ira pas, peu importait à quel point il pouvait la repousser. En attendant, ils se dévoraient du regard, encore pris dans l’œil du cyclone, peu désireux de traverser vents et marées pour retrouver le rivage. Craquant le premier, il enroula ses bras atour de la taille de la brune, la tirant contre lui avant d’enfouir sa tête dans le creux du cou de la jeune femme. S’imprégnant de son odeur, comme s’il craignait de la voir partir, il ferma les yeux en sentant la belle passer délicatement une de ses mains dans ses cheveux. Se laissant bercer par ce contact apaisant, il avait l’impression de pouvoir tout oublier dans cette position. Oublier ses peurs, ses doutes. Oublier pourquoi il s’était mis à crier, pourquoi il avait explosé. Dans cette position il pouvait oublier la pression, ce boulot qu’il n’aimait pas tant que ça finalement, oublier ce qui n’allait pas et se concentrer sur ce qui allait. En douceur, sans un mot, pleine d’une expertise venue avec l’habitude, la belle poussa Eduardo à se remettre sur ses jambes. Le brun refusait de bouger, refusait de lâcher la jeune Reale et lui donner l’opportunité de lui filer entre les doigts. Bataillant comme elle pouvait, elle arriva tant bien que mal à le pousser jusqu’à son lit. C’est dans un dernier effort qu’elle arriva à le pousser sur le matelas, le suivant dans sa chute, toujours prisonnière de ses bras. Raffermissant sa prise, Eduardo roula sur son flanc afin de se retrouver au dessus de la brune, l’empêchant le moindre mouvement. Elle ne pouvait que le serrer en retour, lui rendre cette étreinte qu’il lui offrait à corps perdu. « Je t’aime. » Murmura plein de cette peur de la perdre. Plein de cette douceur et de ce doute dans lequel il se trouvait. Ces quelques mots la firent fondre. Elle n’y pouvait rien, elle était faible face à lui et peu importait à quel point il pouvait essayer de la repousser, hausser le ton de sa voix, quand il lui disait des choses comme celle-là elle se sentait encore plus prisonnière de son emprise.
Dernière édition par Eduardo Riga le Dim 13 Avr - 11:44, édité 1 fois
Eduardo Riga
INSCRIT LE : 12/04/2014 MESSAGES : 23
Sujet: Re: (F) ADELAIDE KANE » amour tourmenté Dim 13 Avr - 10:05
You’re here for a reason
Si tu es une ici et que tu lis ces mots c’est pour une raison (coincidence… i think not ! ). Je vais essayer de ne pas trop monologuer (et surtout ne pas te faire fuir, oui toi doux invité qui lorgne sur mon scénario ).
Pseudo : Alors, le pseudo est entièrement négociable, j’aimerais juste un droit de veto, mais je suis du genre facile à contenter. Que ça soit italien ou plus étranger, c’est pareil pour moi. Je ne suis pas spécialement attachée au nom de famille, il est là surtout pour que je n’appelle pas le personnage x. Avatar : En construisant le personnage, l’avatar qui me venait en tête principalement était Adélaïde Kane, en gros une belle brune (comme ça ce remarque avec mes autres choix d’avatar). Si vous ne pouvez piffer aucune des actrices proposées on peut toujours en discuter. Histoire : Le peu d’histoire que j’ai mis est entièrement négociable. Si vous voulez changer l’un ou l’autre détail, voir tout on peut en parler pour ne pas trop dénaturer le personnage, mais là encore je suis une oreille attentive (oui oui, je fais ma pub… j’assume) et je ne m’amuse pas à emmerder mon monde pour le plaisir. Disponibilité et rp : Je dois admettre une personne qui est un minimum présent ça fait plaisir. Je ne vous demande pas d’être là non stop, mais passez plus qu’une fois par semaine c’est cool quand même. Pour le rp, je ne demande pas trois pages words, un manifeste et trois annexes. Je m’adapte plutôt aisément à la longueur de la personne avec qui je joue. Pour le nombre de réponses, deux par semaine me semble suffisant (plus c’est cool aussi).
Pour finir, merci d’avoir lu le scénario dans son entièreté. J’espère que vous prendrez la belle pour qu’on torture nos personnages jusqu’à la fin des temps. (oui oui, la porte vers un monde de sadisme c'est par ici )
Valentina Reales
INSCRIT LE : 13/04/2014 MESSAGES : 21
Sujet: Re: (F) ADELAIDE KANE » amour tourmenté Dim 13 Avr - 11:25
Omg je suis tombé amoureuse de ton scénario Veux-tu toujours de moi dans ta vie
Eduardo Riga
INSCRIT LE : 12/04/2014 MESSAGES : 23
Sujet: Re: (F) ADELAIDE KANE » amour tourmenté Dim 13 Avr - 11:30
Bien sur que je veux de toi dans ma vie
Oh mon dieu, tu me fais faire une crise cardiaque là (réanimes moi )